L'affaire du meurtre du cercueil par John Edward Belliveau, 1ère édition 1956 TRÈS RARE.

  
L'affaire du meurtre du cercueil par John Edward Belliveau 1ère édition 1956 TRÈS RARE. Il s'agit de la seule version de la 1ère édition en vente n'importe où dans le monde. Ce n'est pas l'une des réimpressions de 1979. Les photos que vous voyez ici sont des photos du livre que vous recevrez. De nombreux vendeurs de livres en ligne utilisent des photos d'archives qui ne ressemblent souvent pas au livre que vous recevez réellement. Ce livre a été jugé important d'un point de vue culturel et historique. John Edward Belliveau, journaliste au Toronto Daily Star, a publié un livre intitulé L'Affaire du meurtre du cercueil, un ouvrage d'un style littéraire et poétique fin qui ne contenait pas d'accusations directes et sérieuses contre qui que ce soit en particulier, mais soulevait de manière très astucieuse des doutes sur l'exactitude des faits présentés lors du procès de Coffin, suggérant, sans affirmer avec force cependant, certains faits qui n'auraient peut-être pas été présentés lors du procès et insinuant que la peine de mort pourrait avoir été infligée à un homme innocent. Je discuterai dans un chapitre distinct de ce rapport du livre de M. Belliveau pour souligner certaines inexactitudes importantes qui auraient pu avoir des conséquences sérieuses sur l'opinion publique.

Deux ans plus tard, M. Jacques Hébert qui, comme M.

Belliveau et Maître Maloney, semble avoir été depuis longtemps partisan de l'abolition de la peine de mort, a publié le premier de ses deux livres sur l'affaire Coffin, intitulé Coffin était innocent; ce travail étant en partie inspiré, selon l'aveu de M. Hébert lui-même, par les rapports de M. Belliveau, voire par son livre? Et par quelques autres journalistes de Toronto et de Pennsylvanie chez qui M. Belliveau avait puisé son inspiration, des rapports qui se trouvaient dans ce qui était décrit comme la "Bibliothèque" du Toronto Star; l'auteur M. Hébert qui avait également tiré son inspiration en partie des informations communiquées par Maître Gravel, a pris pour siennes un bon nombre d'affirmations contenues dans le livre de M. Belliveau, ajoutant des informations personnelles et a formulé les premières accusations violentes qui étaient déjà assez violentes. L'affaire Coffin a été exposée au public qui n'avait pas été informé de manière intelligente, objective et suffisante sur les raisons justifiant les décisions judiciaires qui avaient précédé la condamnation et l'exécution finale de Coffin. En décembre 1958, une bombe a explosé. Un Indien connu sous le nom de Thompson, citoyen canadien originaire de la réserve de St.

Regis située aux frontières de la province de Québec et de l'État de New York, a été arrêté à Miami pour des vols. Nous consacrerons un chapitre à l'affaire Thompson.

Il s'est accusé du meurtre des trois chasseurs américains perpétré dans les bois de Gaspé en 1953. Comme on aurait pu s'y attendre, la presse canadienne et américaine a donné à cette confession une grande publicité. À la suite de cet événement, M. Hébert et Maître Gravel se sont précipités, le premier dans un avion à destination de Miami, et le second, au téléphone avec Miami. Quelques jours plus tard, Thompson a retiré ses aveux, expliquant qu'il l'avait fait uniquement dans le but d'échapper à la justice américaine, et a consenti à passer un test au détecteur de mensonges, et dans des circonstances restées obscures, a obtenu de la part d'un magistrat américain sa libération.

Après cette résurgence de publicité, l'affaire Coffin est restée calme pendant quelques années; mais la curiosité du public était cependant maintenue en éveil à travers un programme organisé et diffusé par la CBC sur CLOSE-UP. Jusqu'à présent, l'attention avait été retenue en grande partie par la télévision anglophone, à l'exception du premier livre de M.

Jacques Hébert; le moment était venu où la télévision francophone et la presse allaient avoir leur tour. De même à Toronto, la publicité relevant du journalisme à sensation, donnée à l'affaire Coffin de 1953 à 1956, résultait en grande partie, selon un ancien journaliste du Toronto Star, M. MacLean, de la compétition effrénée entre deux journaux de Toronto, le Toronto Daily Star et le Toronto Evening Telegram, de même qu'au Québec, la renaissance de la publicité donnée à l'affaire Coffin résultait, indirectement cependant, de la compétition qui avait lieu depuis quelques mois entre deux quotidiens montréalais, La Presse et le Nouveau Journal en partie à travers des nouvelles et des rapports sensationnels.

Il apparaît, d'après le témoignage de M. Gérard Pelletier, éditeur de La Presse, et de M. Jean-Guy Lacroix qui se décrit comme pigiste; ce dernier avait été chargé par ses employeurs de La Presse de faire une enquête sur les activités de la Police provinciale pour des rapports "spéciaux". Lacroix a jugé nécessaire de communiquer avec l'ancien sergent Doyon de la Police provinciale qui, au début de l'été 1961, avait été renvoyé par la Police provinciale. Au moment du meurtre des trois chasseurs américains, cet agent de police était en charge du poste de police de Gaspé.

Des officiers de la Police provinciale venus de Québec, les capitaines Alphonse Matte et Raoul Sirois, avaient été appelés pour l'aider à mener une enquête sur les circonstances de la disparition des trois chasseurs américains. Cela l'avait mis mal à l'aise et humilié. Comme nous le verrons dans un chapitre suivant, l'invitation de M.

Lacroix semble avoir été une occasion imprévue pour M. Doyon de manifester sa rancœur envers ses anciens collègues et supérieurs de la Police provinciale qui le hantaient depuis son renvoi. Lacroix et Doyon pensaient qu'ils pourraient obtenir de M. Jacques Hébert, auteur de Coffin était innocent, des informations et des conseils qui pourraient leur être utiles.

Grâce à l'éditeur de La Presse, ils ont été mis en contact avec M. Hébert et l'ont rencontré au bureau de M. Suite à cette première rencontre entre M. Lacroix, d'une part, et M.

Hébert, d'autre part, ce dernier a lancé une nouvelle enquête avec pour objectif manifeste, si l'on en juge par la préface du livre de M. Hébert publié en décembre 1963 sous le titre J'accuse les assassins de Coffin, de prouver que Coffin était innocent de la manière dont M.

Hébert l'avait affirmé dans son premier livre, que sa condamnation et son exécution avaient été une erreur judiciaire et que ces erreurs judiciaires étaient imputables aux méthodes utilisées par tous les officiers de justice impliqués dans la préparation et l'exposition des preuves lors du procès de Coffin, en commençant par le Premier ministre de l'époque, le Solliciteur général de l'époque et l'Avocat général adjoint resté en fonction depuis lors, y compris les procureurs de la Cour qui avaient agi au nom de la Cour lors du procès, un des avocats de Coffin, et les officiers de la Police provinciale qui avaient été chargés de l'enquête policière et de la préparation des preuves. Hébert a écrit un nouveau livre qu'il a lancé sur le marché le 4 décembre 1963 sous le titre J'accuse les assassins de Coffin. Il est à peine nécessaire de souligner qu'un certain nombre de journaux et de journalistes avides de nouvelles capables d'effets sensationnels et plus désireux de détruire que de construire, étaient heureux de donner au livre de M. Hébert la plus grande publicité possible. Le livre de Hébert était assez sensationnel avec des accusations franches et virulentes dirigées contre un certain nombre de personnes qui avaient participé à la préparation et à l'exposition des preuves lors du procès de Coffin. Il s'est avéré que lorsque le livre de M. Hébert a été lancé, le journal La Presse, à Montréal, avait déjà, en vertu d'un accord conclu plusieurs mois auparavant, le droit de reproduire in extenso et en priorité, dans le journal, le livre de M. Hébert en tout ou en partie, et que certains journalistes, écrivains ou producteurs de Radio-Canada avaient obtenu de M.

Hébert, quelques jours avant la mise sur le marché du livre, communication de la preuve indigne. Dès le 4 décembre 1963, le jour même du lancement du livre de M. Hébert, Radio-Canada diffusait, dans son émission "Aujourd'hui", une enquête télévisée sur certaines personnes mentionnées dans le livre; quelques jours plus tard, le journal La Presse, dans un ou deux numéros, publiait de larges extraits du livre et une autre chaîne de télévision, Télé-Métropole, rejoignait le mouvement avec ses propres interviews. Ce n'étaient plus quelques milliers de lecteurs mais des centaines de milliers, voire des millions de lecteurs, d'auditeurs et de téléspectateurs que les accusations contenues dans le livre de M. Hébert atteignaient, malgré les efforts tardifs de ceux responsables de l'enquête télévisée pour corriger, au cours de la dernière séance de leur enquête, les effets préjudiciables des deux premières séances lorsqu'ils réalisèrent qu'ils s'étaient égarés, qu'une enquête de ce type était manifestement en dehors de leurs moyens et de leurs attributions et aurait pu devenir une source d'injustice.

L'affaire Coffin de 1793 a été un cas controversé dans lequel un groupe d'esclaves afro-américains a été arrêté à Charleston, en Caroline du Sud, et accusé de comploter une rébellion d'esclaves à l'aide d'un mystérieux cercueil. L'affaire a suscité un débat houleux dans le sud des États-Unis à l'époque, car les accusés se sont vu refuser un procès équitable et ont finalement été reconnus coupables. Ce cas rappelle de manière frappante l'injustice subie par les Afro-Américains tout au long de l'histoire, et explique pourquoi l'affaire Coffin était si injuste. Mon livre L'affaire Coffin : une supercherie ? J'en suis arrivé à la conclusion que le procès de Coffin était une supercherie dans The Coffin Affair: A Hoax? (publié par Wilson) à Montréal en novembre dernier, et j'ai discuté de mes conclusions dans cet article. Dans la PARTIE III de son rapport, le juge Roger Brossard identifie ceux qui sont derrière cette supercherie. Jusqu'au jour précédant l'exécution de Wilbert Coffin, l'affaire est restée secrète. L'abolition de la peine de mort a commencé à la suite de l'innocence de Coffin et de l'erreur judiciaire qui aurait pu entraîner sa condamnation, une campagne qui était silencieuse mais vraie. Le chapitre intitulé "Du livre de Belliveau" portera sur certaines inexactitudes critiques du livre de M. Belliveau qui auraient pu avoir des conséquences sérieuses sur l'opinion publique. Parce que le public n'était pas informé, de manière intelligente, objective et approfondie, l'affaire Belliveau a été rendue publique avant qu'ils ne soient informés. Un Indien nommé Thompson, un citoyen canadien de la réserve indienne de St.

Regis, a été arrêté à Miami pour des accusations de vol. Les trois chasseurs américains ont été tués dans les bois de Gaspé en 1953, et il a revendiqué la responsabilité de leur mort. Son aveu a immédiatement été rejeté par Thompson comme une tentative d'échapper à la justice aux États-Unis.

Il a accepté de passer un test au détecteur de mensonges, mais dans certains cas le test n'a pas été réalisé comme prévu, et il a été libéré plus tard par un magistrat américain. Plusieurs années se sont écoulées avant que l'affaire Coffin ne soit discrètement enterrée à la suite de la renaissance de la publicité. J'accuse les assassins de Coffin était un nouveau livre écrit par M. Hébert qui a été publié en décembre 1963 et a été publié à cette date.

Lacroix a lancé une nouvelle enquête avec pour objectif affirmé de prouver l'innocence de Coffin à la suite de leur première rencontre. Lorsque le livre J'accuse les assassins de Coffin a été publié en décembre 1963, Radio-Canada a diffusé une émission détaillant les noms des personnes mentionnées dans le livre.

L'auteur a écrit, dans les premières pages du livre, à titre d'avertissement aux lecteurs, qu'il contenait les lignes les plus virulentes de tout le livre. Si une telle erreur judiciaire se produit, tout le pays en souffrira.

Il poursuit en disant que Coffin sera démasqué et puni pour ceux qui, conscients ou non, sont responsables de la mort des trois chasseurs américains : politiciens, fonctionnaires, policiers et avocats. Par conséquent, il dit que la peine de mort sera complétée à la fin de ce processus. Il serait injuste et immoral que des personnes qui en sont capables le fassent. Un acte odieux est commis par un meurtrier contre Coffin avec une rare férocité.

Jean-Claude Hébert n'a pas précisé comment il anticipait que le chantage étoufferait le scandale. L'affaire du "meurtre du cercueil" est l'un des mystères non résolus les plus notoires du XXe siècle. En octobre 1922, le corps d'une femme a été retrouvé dans un cercueil scellé à Londres, en Angleterre. Le cercueil avait été placé dans un lieu public, et le corps était complètement méconnaissable. Malgré une enquête approfondie, l'affaire n'a jamais été résolue. L'identité de la femme n'a jamais été établie, et la cause de la mort demeure un mystère. À ce jour, l'affaire fascine toujours et déconcerte les experts, qui ont utilisé des techniques d'investigation modernes et des sciences médico-légales pour essayer de résoudre enfin l'affaire.